Martin Degaussin
Le Barça a gagné contre Naples à sa manière, c’est-à-dire dans la polémique, en volant les Italiens.
La main de Negreira s’est étendue à l’Europe, ce qui est déterminant pour que les Catalans soient toujours en lice en Champions League et aient passé le huitième de finale de l’UEFA Champions League contre Naples.
Danny Makkelie, arbitre néerlandais, n’a pas expulsé Andreas Christensen, auteur d’un tacle très vilain sur Stanislav Lobotka, qu’il a failli blesser gravement.
L’action précédente était invalidée pour hors-jeu, mais cela n’exonère pas le Danois d’être coupable d’un jeu dangereux grave contre le milieu de terrain de Naples, qui pouvait à peine marcher.
L’action n’a même pas été revue par le VAR, ce qui est vraiment regrettable car c’est une image qui, comme on pouvait s’y attendre, fait le tour du monde entier, qui sait déjà que les Napolitains devront réaliser un véritable miracle pour se qualifier pour les quarts de finale de l’UEFA Champions League.
Les Catalans ne seront pas sanctionnés, c’est plus qu’évident, et cela se produira aussi bien en Espagne qu’en Europe, ce dont les autres grands clubs européens doivent avoir peur.
Comme si cela ne suffisait pas, Danny Makkelie a de nouveau aidé Barcelone en deuxième mi-temps, car dès le début de la deuxième période, Pau Cubarsí a fait tomber Victor Osimhen dans la surface de réparation, une action qui a été réclamée par tous les joueurs de Naples mais aucun des arbitres n’a rien signalé et a décidé de fermer les yeux.
Au-delà du niveau médiocre des Italiens, qui a été catastrophique, le Barça avec les arbitres est un scandale. Naples a été “volé” avec une expulsion non sifflée et un penalty non accordé. Deux actions qui auraient pu changer complètement le cours de la rencontre… L’effet Negreira se déplace en Europe. Une honte.
