Depuis son départ du Paris Saint-Germain, Sergio Ramos se retrouve sans club et cherche activement une nouvelle équipe. Alors que les marchés européens se ferment dans quelques semaines, le défenseur espagnol a reçu des offres de l’Arabie saoudite, de la Turquie et de la Major League Soccer, mais il nourrit toujours l’espoir de revenir au club qui l’a vu éclore il y a près de deux décennies : le Sevilla.
Sergio Ramos souhaite ardemment retrouver le Ramón Sánchez-Pizjuán et est prêt à consentir un effort financier important pour cela. Il est même prêt à accepter un salaire inférieur à certains de ses coéquipiers, tels qu’Ivan Rakitic et Papu Gómez, et envisage un contrat basé sur des objectifs, tels que le nombre de matchs joués et les performances de l’équipe.
José María del Nido Carrasco, vice-président exécutif du Sevilla, avait précédemment écarté la possibilité de recruter Ramos, mais avec une nuance : “à ce jour”. Il a déclaré lors d’une conférence de presse : “Sergio Ramos n’est pas une option. Nous avons de bonnes relations avec René (le frère et agent de Sergio), car il représente Óscar Rodríguez, qui est joueur du Sevilla. Mais en ce qui concerne Sergio, il n’y a aucune conversation. C’est un joueur exceptionnel qui a grandi dans notre centre de formation, mais à ce jour, il n’est pas une option pour le Sevilla”. Pendant ce temps, les supporters du Sevilla sont divisés sur un éventuel retour du défenseur espagnol.
Pendant ce temps, du côté de l’Eibar, le jeune défenseur Nianzou a de nouveau été blessé et ne convainc pas l’entraîneur Mendilibar. Ce dernier est également méfiant vis-à-vis de Marcao (qui vient de se remettre d’un problème musculaire) et de Gattoni, récemment arrivé d’Argentine. Ce qui aurait dû être un effectif de cinq défenseurs, en incluant le polyvalent Gudelj, se réduit à seulement deux joueurs qui satisfont pleinement l’entraîneur de Zaldibar. Il n’exclut pas la possibilité de recruter un autre défenseur si les contraintes salariales, actuellement un gros problème, le permettent. Et il est clair que Mendi connaît parfaitement la hiérarchie et les qualités de Sergio Ramos…
