Redaction
Alors que beaucoup de supporters algériens attendaient que Djamel Belmadi quitte son poste d’entraîneur en mars dernier, ou qu’il soit limogé, après l’élimination prématurée de la Coupe d’Afrique et la non qualification de l’équipe nationale en Coupe du Monde, le franco-algérien est toujours là et son nouveau contrat le maintient à la barre de l’équipe d’Algérie jusqu’en 2026.
Si dans son intervention, il évoque « l’amour du pays », le site Arabic Post parle d’un élément pas moins motivant : Le salaire mirobolant qui le fait entrer dans la top 10 des plus gros salaires de coach du monde.
Arabic Post révèle ainsi, dans son édition du 29 septembre que « Belmadi a signé pour un salaire de plus de 200.000 € par mois. Ce qui fait de lui l’un des dix entraineurs de sélectons nationales les mieux payés au monde ». Le site ajoute que « son salaire a été multiplié par trois depuis son arrivé à la tête des Verts », soulignant que « son premier contrat signé en juillet 2018 était de 70.000 € par mois et a triplé depuis que les Verts ont remporté la Coupe d’Afrique des Nations en 2019 en Égypte ».
Selon la même source, côté Fédération, on lui a exigé d’ »atteindre au moins les demi-finale de la Coupe d’Afrique 2024 pour prolonger le contrat jusqu’en 2026 et ainsi coacher les Verts pour les éliminatoire pour la Coupe du Monde 2026. »
“L’Algérie a offert plus que le Qatar”
Le site révèle enfin qu’une source qatarie lui a révélé que « ce salaire est bien supérieur à celui proposé par la sélection du Qatar ». Ce qui explique que les négociations s’étaient interrompues soudainement avec la La Fédération du Qatar de football. Une information de taille quand on sait que la presse sportive algérienne avait avancé que Djamel Belmadi avait refusé l’offre du Qatar « par amour pour son pays ».
