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OL : Laurent Blanc pour succéder à Peter Bosz

Bien qu’ayant conforté l’entraîneur néerlandais jusqu’en février, le président rhodanien dévoile déjà le nom d’un des possibles prétendants au banc de touche de l’actuel onzième de Ligue 1… Laurent Blanc.

Après 20 journées de Ligue 1 et déjà éliminé de la Coupe de France suite aux incidents à Charléty face au Paris FC, la première partie de saison de l’Olympique Lyonnais sous l’ère Peter Bosz ne semble pas se dérouler comme prévu. On est bien loin du bilan de la saison 2020/2021, les Gones alors entraînés par Rudi Garcia, étaient leaders du championnat avec un point d’avance sur le Paris Saint-Germain et toujours en lice pour la coupe nationale, avant d’être sortis du dernier carré par l’AS Monaco.

«Il n’y a aucune chance que Peter ne soit pas là jusqu’à fin février. Je nous laisse les deux mois de janvier et février pour revenir dans le Championnat et peut-être la Coupe, si on a le bonheur de pouvoir la continuer. Peter est un très, très bon coach. Il continue de correspondre au profil du coach que l’on souhaite à l’OL.» déclarait Jean-Michel Aulas dans les colonnes du journal l’Équipe le 23 décembre dernier. Pourtant, quelque temps après, la donne semble avoir changé.

Laurent Blanc comme piste envisagée

« Oui, j’y pense. À l’époque, j’étais solidaire avec Juninho. C’est un garçon qui a une expérience incomparable. Je l’avais vu longuement en Russie pendant la Coupe du monde. J’avais bien senti cette capacité chez lui. Les choses ne se sont pas faites. Mais sait-on jamais ? […] Peter Bosz, c’est costaud. Mais il n’y a pas de résultat à la hauteur. On a dit : “On continue jusqu’à fin février”, pour voir ce que cela donne mais dans mon esprit, on ne va pas se mettre en danger. […] On ne sera pas idiots.» affirmait le dirigeant rhodanien dans une interview diffusée par Europe 1. Le dirigeant lyonnais n’a pas répondu par la négative à la question abordant la possibilité d’engager Laurent Blanc en cas de changement de coach, bien au contraire.

« J’ai 72 ans, et j’en suis fier. Je n’ai pas l’impression d’être un vieux “schnock”, pas du tout. Je prends plein d’initiatives, la mécanique fonctionne, le dynamisme est toujours là. Je ne partirai pas sans avoir ramené à Lyon une Coupe d’Europe. Même dans la tempête, on fait en sorte de trouver les ingrédients pour continuer à investir sur le moyen terme et arriver là où nous devons aller.» Aulas a également tenu à rappeler aux supporters qu’il se considère toujours comme l’homme de la situation à la tête du club, et ce malgré le bilan frustrant à la mi-saison.

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